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De-ci de-là

Un froissement d'ailes embaume l'azur

Et emporte le bruit ample et clair

qui surplombe la promenade.

Sur le sillon odorant de la Terrasse des Feuillants,

j'ai reconnu ton pas,

Celui qui efface le hasard d'un geste,

sans briser le mystère des ombres agitées.

Quand le reflet bleu des pierres fait danser la lumière,

ton silence murmure l'inouï

Et je perçois le tumulte béant

qui me porte bien au-delà des choses.

Là où s'enfuit la beauté.

Muse fidèle de la première clarté,

tu recouds mes pages oubliées.

Morpho, accompagné d'un battement d'ailes

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